La Rochelle le 17 juin 2012, alors qu'elle est en débat organisé par caméras interposées avec le candidat qui vient de la battre, Ségolène Royal a une défaillance, le début d'un évanouissement. La scène dure 3 secondes.
Sur cette photo réalisée sans trucages , on la voit s'affaisser.
Première photographie d'elle, elle écoute pour répondre.
Photographie suivante, ce qui a tout l'air d'une absence, d'un évanouissement, avant qu'elle ne se reprenne.
Ce qui fait penser à l'amorce d'un évanouissement
Durant les 15 secondes qui précèdent ce semi évanouissement, Ségolène Royal cligne 17 fois des paupières, montrant qu'elle écoute ce que dit son rival vainqueur. Les clignements de paupières permettent d'intégrer l'information pour la faire entrer dans le cerveau et la conserver.
Elle cligne intensément des paupières, parce qu'elle écoute la réponse d'Olivier Falorni à la question du journaliste qui lui a demandé s'il allait remercier Valérie Trierweiler pour son tweet d'appui.
Et lorsqu'elle cesse de cligner des paupières donc d'écouter alors qu'elle devra répondre ensuite, c'est parce qu'elle a une absence, c'est en tous les cas la situation la plus plausible.
Rien ne permet d'ailleurs d'expliquer que tout à coup elle disparaisse sous la caméra comme elle le fait.
Ségolène Royal tombe de son piédestal tout à fait physiquement … trois secondes…seulement trois secondes.
Elle aurait pu choir, mais non. Cette scène rochelaise est en elle-même une métaphore.
Elle aurait pu choir, mais non. Cette scène rochelaise est en elle-même une métaphore.