Archives mensuelles : juillet 2018

Synergologie par la preuve : Coupe du monde de football

Pour la première fois un arbitre lors de la finale du Mondial de football, face à un problème d'arbitrage a recouru à la vidéo pour re-visionner une action de jeu. Il est alors revenu sur sa décision, accordant un penalty (autant dire presque un but pour les non initiés) à une équipe, ici l'équipe de France. Or, en Synergologie, face à une situation "problème", la personne se gratte le nez en le pinçant, c'est exactement le cas ici. (Arbitre : en haut à droite)

Sur le message blog précédent, un joueur marquait contre son camp. Là encore c'était un gros problème pour lui, et sur la vidéo déposée sur le blog, il effectue exactement le même geste que l'arbitre.

Evidemment il est toujours possible que ces deux participants à la Coupe du monde aient eux tous les deux un bouton dans le nez, exactement au même endroit, mais si vous saviez combien de mêmes situations ont été captées et sont répertoriées dans nos bases de données, vous seriez assurés, que le "bouton dans le nez" n'est pas la situation la plus plausible pour expliquer pourquoi une personne se pince ainsi le nez lorsqu'elle est face à un problème.

Et maintenant sur le fond, les évènements sportifs permettent d'expertiser à merveille les théories synergologiques parce que comme ce sont des spectacles et que les acteurs sont silencieux et concentrés sur ce qu'ils font, il est assez facile d'envisager ce qu'ils pensent et donner une signification à leur langage corporel. En fait tester ainsi les théories synergologiques.

Coupe du monde et traumatismes

Le 15 juillet 2018 pendant la finale de la Coupe du monde de football, un joueur croate a eu la très mauvaise idée dès le début du match de marquer un but contre son camp, donnant à la France l'occasion de mener au score et de prendre l'avantage à ce moment du match.
Or il a été repéré en synergologie et consigné sur vidéo, qu'une personne évoquant verbalement un traumatisme psychologique le fait en accompagnant son discours de petits mouvements rotatifs de la tête. Voyons comment réagit le joueur lorsqu'il se rend compte sur grand écran, qu'il n'y a pas de doute possible et qu'il est bien l'auteur fautif du but.

Pour Mario Mandzukic le joueur qui offre l'avantage du score à son adversaire, la situation était traumatisante. Le phénomène visuel est fin mais il est très facile à observer pour qui a été formé à l'observer. Il s’agit de 4 petits mouvements de gauche à droite au début de la vidéo et la même séquence à la fin de cette vidéo. (Si vous avez de la difficulté à repérer ce phénomène, enlevez le son de votre ordinateur pour regarder). Il faut noter également que ce phénomène n’est visible chez aucun de ses partenaires et aucun des adversaires.
Au moment où de la production des axes de tête rotatifs, le joueur a arrêté de cligner des paupières. Il est dans ses pensées, fermé aux informations extérieures. Il n'est pas nécessaire d'être grand clerc de la communication pour comprendre qu'il se remémore l'action de jeu.

Ces rotations sont généralement observées lorsque les êtres humains parlent et on pouvait se demander à bon compte si ces mouvements rotatifs n'étaient pas une façon de renforcer le traumatisme verbalisé en l'appuyant d'une négation. Or ici le joueur ne dit rien mais les mouvements sont si rapides qu'ils ne peuvent être produits intentionnellement.
Le traumatisme psychologique est repérable sur une base corporelle. Dans l'absolu, il est très possible que ces mouvements rotatifs rapides naissent précisément pour se débarrasser des traumatismes. Des données neurologiques en attestent.

Nous reviendrons plus tard sur une autre observation aussi intéressante observée pendant le même match.