Nous savions déjà que les régions du cerveau décodant les mots écrits et prononcés étaient également les régions dans lesquelles le langage des signes (des sourds-muets) était lu (l’aire de Broca et l’aire de Wernicke). Dans une nouvelle étude, les chercheurs ont essayé de savoir si des gestes non-liés au langage étaient également décodés dans ces zones.
Pour l’expérience, ils ont utilisé des gestes faits par des mimes et des gestes appelés d’ «emblème» dont la signification est connue, tel le « V » de la victoire par exemple ( que les synergologues appellent gestes symboliques, gestes conscients et culturels) L’expérience a démontré qu'effectivement les aires du langage jouent également un rôle dans le décodage de ces gestes. Ces zones cérébrales seraient donc autant liées à l’interprétation des symboles qu'au déchiffrage des mots. L'aire de décodage du geste serait devenue une aire de décodage du mot au fil du temps.
Cette étude est passionnante (*) mais elle ne doit pas nous faire oublier que les gestes dont nous parlons ici sont des gestes conscients décodés consciemment. Les hypothèses synergologiques si elles sont justes devraient permettre de découvrir que d'autres aires davantage impliquées dans les émotions permettent de décoder ailleurs les gestes que nous faisons sans raison, par exemple lorsque nous parlons et que nos bras s'agitent dans l'espace apparemment sans préciser de message (les gestes projectifs).
Parce qu'au bout du compte, il est des situations dans lesquelles nous cherchons à faire croire quelque chose à l'autre et nous servons de gestes précis pour que l'autre comprenne… sans croire nous mêmes à ce que nous disons… Dans cette situation une composante explicite du geste dit une chose pendant qu'une autre composante implicite montre autre chose…
Pendant que des groupes de chercheurs cherchent à montrer à quel point le geste et la parole se confondent et tentent de remonter ainsi à l'origine de l'humanité, d'autres groupes travaillent à montrer au contraire à quel point ils ne se confondent pas et comment plus l'individu est intelligent plus il peut traiter de pensées contradictoires en même temps… !
(*) Francesco Foroni "Language That Puts You in Touch With Your Bodily Feelings", Psychological Science research findings, 2009.
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Le langage est divisible en deux composantes principales. La parole audible non visible en elle même mais lisible sur les lèvres faisant appel a une « compétence » de notre environnement qui est l’onde. Le son n’existe que par l’onde qui se déforme et vibre. (pour faire simple).
La seconde est le geste que l’on cherche depuis des lustres à lier à la parole mais qui est autonome. Qui soutend, complète, contre dit ou dit autre chose, que ce que le verbe exprime. Nous tentons de le comprendre par des explications rationnelles qui pourtant ne donnent jamais satisfaction. Simplement peut-être que le geste est une expression de l’insconscient et que au même titre que le mot et le lapsus son expression ne peut pas être codiéfiée à priori mais à postériori…
Pourquoi ne pas rendre au geste sa dimension première animal et le comprendre dans son environnement à lui et non pas comme un sous produit de la parole ?
Merci